"Il tenait des discours abominables, il parlait de couper le cou aux riches, de nocer un beau matin à s'en crever la peau, avec les femmes et le vin des autres: menaces lâchées d'une voix sombre, les poings tendus, théories révolutionnaires apprises dans les faubourgs parisiens, revendications sociales coulant en phrases enflammées, tel flot stupéfiait et épouvantait les paysans."
Zola, la Terre, 1890.
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