jeudi 25 mars 2010

Besson pas la garde


Tu as beau gémir ma couille, t'as vraiment une sale gueule.
Ton tarin allongé, tes yeux livides, ton charisme égal à celui d'un vieux flan aux olives vertes.
Ta servilité, ton narcissisme tapageur, ton attrait pour les jeunes filles maghrébines aux origines sociales plus gratifiantes que celles que tu entasses dans tes charters.
Une vraie gueule de con, de cul. Qui fait un sale boulot. Je ne suis pas malheureux d'échapper au fisc vu les crottes de nez que je touche en guise de salaire, car financer ton ministère, ton train de vie, tes caleçons longs, me ferait autant chier que de dormir aux côtés de Nadine Morano.

Le plus grave dans cette affaire, mon gros couillon, c'est que tu vas achever par me rendre Guillon sympathique, bien que je trouve le garçon agaçant, un tupamaros pas marrant, qui a une culture politique nulle, un humour pour spectateurs assidus de Canal Plus. Une émule de bobof, avachi du bulbe, qui se pique de pontifier, en plus de ça.

Alors, mon Eric, arrête tes conneries, je t'en prie. Démissionne, achève tes jours aux côtés de ta très jeune moitié, et lorsque Zemmour sera définitivement mort médiatiquement, tu auras toujours un ami à inviter à Sidi Bou Said.

T'embrasse pas, face de pet.

2 commentaires:

  1. Et dormir à côté de Rama Yade, major?

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  2. Cher Kléber, j'en ai déjà eu la malheureuse occasion... Sa peau ébène, et ses formes plus que attractives auraient du avoir raison de mes convictions. La raideur physique prenant le pas sur la rigidité idéologique... Elle reste une fille de droite; elle prend toute la couette, et court se laver juste après le coït.

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