Salé, foutre!
Niquedouille qu'il est, le populo! Il s'en va soiffer comme un trou, pour fêter la nouvelle année et conjurer sa misère. Il se fera à coup sûr arquepincer par les roussins sur la route, ou pour tapage! Dur de lampionner, quand l'époque est à l'ascétisme forcé.
Pendant ce temps-là, le guenilleux diffère. Et les autres, les chameaucrates, les bourgeoisillons, les boursicotiers, défèrent.
Il diffère quoi le turbineur? Le temps de sa vengeance! Celui du chambardement, le grand, attendu depuis tellement d'années. Populo préfère désormais mourir à crédit, ceintré dans le plasma, la technologie qui envahit son quotidien, et l'enferme dans le maboulisme. Purotin remplit son rôle de votard, quand la convocation vient, se pensant souverain, alors que le panade est son seul horizon. La rouspétance n'est plus son pêché mignon. Il plumarde, joue au lèche-croupion. Drôle de gniaff, que ce civelot-là!
On dirait qu'on l'a chaponné, l'ami prolo. Et pourtant des raisons de partir à la culbute, car les mistoufliers sont toujours aussi torcheculatifs, n'en manquent pas.
Les députains ne font rien pour lui. Le socialo ressemble de nos jours à s'y méprendre, au radigâleux du début du siècle dernier. Môme Olivier, son prétendu sauveur, qui ne politicaille que pour la prospérité de sa chapelle de shadocks, et dont les réflecs ne sont que de la trouducuterie, ne pousse pas au barouf.
Qu'attends-tu, turbineur! Cesse donc de trimarder dans la souffrance! Et par pitié, éloigne toi des patriotocards qui veulent te faire becqueter du métèque! Car le patrouillotisme est l'ennemi du déchard, et l'ami du rupin!
Donc, entame ta nouvelle année de meilleure façon que la précédente! Et peste soient les chieurs de copie, et les opportunards qui entravent ta liberté d'action.
Organise-toi, faut groumer, les mercanti ne te feront pas de cadeau!
Niquedouille qu'il est, le populo! Il s'en va soiffer comme un trou, pour fêter la nouvelle année et conjurer sa misère. Il se fera à coup sûr arquepincer par les roussins sur la route, ou pour tapage! Dur de lampionner, quand l'époque est à l'ascétisme forcé.
Pendant ce temps-là, le guenilleux diffère. Et les autres, les chameaucrates, les bourgeoisillons, les boursicotiers, défèrent.
Il diffère quoi le turbineur? Le temps de sa vengeance! Celui du chambardement, le grand, attendu depuis tellement d'années. Populo préfère désormais mourir à crédit, ceintré dans le plasma, la technologie qui envahit son quotidien, et l'enferme dans le maboulisme. Purotin remplit son rôle de votard, quand la convocation vient, se pensant souverain, alors que le panade est son seul horizon. La rouspétance n'est plus son pêché mignon. Il plumarde, joue au lèche-croupion. Drôle de gniaff, que ce civelot-là!
On dirait qu'on l'a chaponné, l'ami prolo. Et pourtant des raisons de partir à la culbute, car les mistoufliers sont toujours aussi torcheculatifs, n'en manquent pas.
Les députains ne font rien pour lui. Le socialo ressemble de nos jours à s'y méprendre, au radigâleux du début du siècle dernier. Môme Olivier, son prétendu sauveur, qui ne politicaille que pour la prospérité de sa chapelle de shadocks, et dont les réflecs ne sont que de la trouducuterie, ne pousse pas au barouf.
Qu'attends-tu, turbineur! Cesse donc de trimarder dans la souffrance! Et par pitié, éloigne toi des patriotocards qui veulent te faire becqueter du métèque! Car le patrouillotisme est l'ennemi du déchard, et l'ami du rupin!
Donc, entame ta nouvelle année de meilleure façon que la précédente! Et peste soient les chieurs de copie, et les opportunards qui entravent ta liberté d'action.
Organise-toi, faut groumer, les mercanti ne te feront pas de cadeau!
Joli...
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